Category: My mood

octobre 25th, 2019 by SophieLehembre

In 68 or 69, I can’t remember exactly

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octobre 9th, 2019 by SophieLehembre

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octobre 6th, 2019 by SophieLehembre

When I was an about 16 years old teenager

 

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mars 14th, 2019 by SophieLehembre

Ta lumière (your light)

 

J’ai vu de la lumière (I’ve seen some light)

Alors je suis entrée (Then I came in)

J’ai posé mes pas dans la trace des tiens (I put my paces into the prints of yours)

Et sans le savoir (And without being aware of it)

Je t’ai suivi (I followed you)

Au quotidien (Daily)

Et chaque jour était peuplé de ta présence ((And every day was filled with your presence)

Invisible (Invisible)

Invincible (Invincible)

Est habité par le son de ta voix (Is peopled by the sound of your voice)

Par l’éclat de ton âme ((By the brightness of your soul)

Et par ton coeur (And by your heart)

Qui bat (That beats)

Au rythme de mes pas (At the pace of my paces)

 

J’ai vu de la lumière (I’ve seen some light)

C’est pour cela (That’s why)

Que je suis entrée (I came in)

Je n’ai pas voulu (I didn’t want)

Je n’ai pas osé (I didn’t dare)

T’interpeller (To call out to you)

Il n’y avait pas que toi ((You weren’t the only present one)

Et il n’y avait que toi (And you were the only one)

 

J’ai vu la lumière (I’ve seen the light)

De ton regard clair (Of your bright eyes)

Et comme un passager clandestin (And like a stowaway)

Je suis restée fondue ((I remained dissolved)

Dans la foule aveuglée (In the blinded crowd)

Dans la foule enfiévrée (In the fervent crowd)

Il fallait que je sois là (I had to be there)

Car il fallait que tu me vois pour la première fois (Because you had to see me for the first time)

Car il fallait (Because)

Que tes yeux caressent (Your eyes had to)

Ma joue (caress my cheek)

Et mon cou (And my neck)

 

J’ai vu de la lumière (I’ve seen some light)

Alors je suis entrée (Then I came in)

Et pas à pas (And step by step)

J’ai appris à te connaître ((I’ve learned to know you)

J’ai appris qui tu étais ((I’ve learned who you are)

Maintenant (Now)

Tu as un nom (You have a name)

Et il est doux à mon oreille (And it is sweet to my ear)

Maintenant (Now)

Je connais le visage (I know the face)

De celui (Of the one)

Qui me suit pas à pas (Who follows me step by step)

Depuis (Since)

Que Dieu a voulu faire de toi (God wanted to make of you)

Celui qui est à moi ((The one who’s mine)

Et qui peut dompter (And who can tame)

Mon irréductible liberté ((My invincible liberty)

 

Ecrit le 16 juillet 2018

Copyright 2019

 

 

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mars 10th, 2019 by SophieLehembre

The and

 

Who can swear

Or even tell

When the world is ending

End is such a sad word

End of the world

End of the love

Of my love

And of it all

 

I prefer the and

That keeps the future open

That keeps hope

In and inside this world

Hoping

Keeping hoping

And dreaming

It’s just what makes us

Stand

What gives us the will

To go on swimming

To go on struggling

 

The and

Is not this bright

It is true

because the and

Is just the path that goes on

In the darkness

Of the night that begun

And will last

Till we reach a new day

Till we reach a new harbor

The and

Is just the sad path

That goes on

With all these deads around

with this death that threatens

As it always did

 

The and is also

Your love and my love

Keeping us close

Together for ever

It is also

The sweet caresses of your words

Of your thoughts

That wrap my days

And keep me busy

 

Give me your hand

And let’s go the and

 

Copyright 2019

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juillet 27th, 2018 by SophieLehembre
Eglantine,
Ancêtre de la rose,
Toi,
Aux quelques pétales rosés,
Tu ornes nos vallées,
Nos campagnes
Et nos près.
Eglantier,
Buisson épineux,
Buisson chargé,
Tu nous offres
Sans compter,
Chaque été,
Tes fleurs surannées.
Eglantine,
Fleur déguisée,
Fleur imitée,
Tu es la source
Où puise sans compter
Tout l’agrément
De nos roseraies
Embaumées,
Colorées.
Eglantier,
Tu donnas au rosier
La beauté de tes fleurs
Et,
La sévérité
De ta tige épinée.
Eglantine,
Ancêtre de la rose,
Ancêtre de la reine
De nos jardins,
De celle
Que célèbrent nos poètes,
Nos amoureux,
Tu restes
Celle
Qui, la première,
A su inspirer
Faire deviner
Toutes les possibilités
Que la nature
A donné
A ton buisson
Enraciné.
Eglantier,
Emmêlé, 
Embroussaillé,
Tu croîs
Dans nos forêts
Sans faillir,
Librement
Car, personne,
Jamais,
N’a su te dompter.
Eglantine,
Tes soeurs
Embaument,
Elles parfument l’air
De leurs parfums 
Incomparables
Et,
Toi,
Tu es là,
Toujours, 
A revenir encore,
Source promise,
Source fidèle,
Source infaillible.
Eglantier, 
Tu as encore
A nous donner,
Tu as encore
Des promesses informulées
A honorer,
Tu as encore
A nous offrir,
Chaque année,
Cette fleur
Incomparable,
Cette fleur
Inégalable,
Cette fleur
Si simple,
Si pure,
Cette églantine
Que personne,
Jamais,
Ne pourra t’enlever.
Ecrit en 1998 – Publié dans “Les Nouveaux Cahiers de l’Adour” n°36 en 2000

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juin 28th, 2018 by SophieLehembre
Te caches-tu
Derrière la litanie des saints
En cortège?
Emmergeras-tu
De cette suite ininterrompue
De mots répétés
De pensées ressassées
D’interdictions réitérées?
« Tombe,
Meurs
Tu n’as plus droit à la vie »
Quelle est cette condamnation
Qui tombe du ciel
Comme un couperet?
D’où vient cette mort
Qui nous menace
Qui veut nous mener
A la trique
Tambour battant
Jusqu’au cercueil?
Qui est-elle donc?
Et toi, où es-tu?
En reviendras-tu enfin
De ce gouffre infernal
De cette bouche immonde
Qui a dû t’engloutir?
Du fin fond de mon coeur
Tu émerges encore.
Dans ma tête étouffée
Tu gémis
Des mots d’amour
Tendres et doux,
Tu murmures
Des promesses incroyables,
Tu inventes
Un monde magnifique
D’un ineffable somptuosité.
Tu renais pour tomber aussitôt,
Tu tombes pour mieux renaître encore..
Ecrit en 2003
Copyright 2018

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juin 28th, 2018 by SophieLehembre

 

Désordonné,
Ce monde suranné,
Essoufflée,
Cette foule enrubannée,
Déguisée,
Maquillée pour tromper,
Trempée de pleurs en pluie
Baignée du sang d’autrui,
Affolante,
L’infinie cruauté
Qui préside en en-tête
Qui décide et qui tue
Qui affole la vertu:
Qu’ont donc les gens en tête
Qui pollue tant l’esprit
Le torture
Et l’essouffle?
Pourquoi ne penses-tu plus?
Qu’est-ce donc qui t’en empêche?
Tu meurs,
Tu ressuscites,
Tu te mêles, emmêlé,
A la foule enrubannée.
Où es-tu donc?
Caché au fond d’un coeur,
Balbutiant des mots d’amour
Inaudibles?
Enfoui dans le sable brûlant
D’un désert inconnu?
Parle,
Donne,
Dis ce qu’il en est,
Renais
Et parle-moi!
Sais-tu encore ce que tu veux,
Qui tu es,
Ce que tu fais?

Ecrit en 2003

copyright 2018

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novembre 16th, 2017 by SophieLehembre
“Ecoutez, ô rois, et comprenez; instruisez-vous, juges de toute la terre. Soyez attentifs, vous qui dominez les foules, qui vous vantez de la multitude de vos peuples. Car la domination vous a été donnée par le Seigneur, et le pouvoir, par le Très-Haut, lui qui examinera votre conduite et scrutera vos intentions. En effet, vous êtes les ministres de sa royauté; si donc vous n’avez pas rendu la justice avec droiture, ni observé la Loi, ni vécu selon les intentions de Dieu, il fondra sur vous, terrifiant et rapide, car un jugement implacable s’exerce sur les grands; au petit, par pitié, on pardonne, mais les puissants seront jugés avec puissance. Le maître de l’univers ne reculera devant personne, la grandeur ne lui en impose pas; car les petits comme les grands, c’est lui qui les a faits: il prend soin de tous pareillement. Les puissants seront soumis à une enquête rigoureuse. C’est donc pour vous, souverains, que je parle, afin que vous appreniez la sagesse et que vous évitiez la chute, car ceux qui observe saintement les lois saintes seront reconnus saints, et ceux qui s’en instruisent y trouveront leur défense. Recherchez mes paroles, désirez-les; elles feront votre éducation.”
Livre de la Sagesse, 6, 1-11

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novembre 11th, 2017 by SophieLehembre

Here’s my great grand-father, Jules Forgeot, who was killed on august 30, 1914, leaving his seven-months pregnant wife and a one-year old daughter, Brigitte, the sister of my grand-mother:

https://gw.geneanet.org/agerfaut?lang=fr&iz=3&p=jules+etienne+marie&n=forgeot

Don’t ask me why I can’t bear wars

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